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Dimanche 27 mai dernier, l’abbé David Vincent était le principal invité en entrevue à l’émission La Victoire de l’Amour. C’est aussi lui qui livre l’homélie sur l’évangile de ce dimanche, à la fin de l’émission. Si vous l’avez manqué à la télévision, vous pouvez le revoir ici.

David Vincent est prêtre du diocèse de Nicolet depuis 2005 et il est curé à la paroisse Sainte-Victoire dans l’unité pastorale de Victoriaville.

Cicero Epifanio de Lima, 11 ans, joue avec brio de l’accordéon et participe aux spectacles Thallita Canta Gonzaga en plus de s’impliquer dans l’atelier théâtre..

La quête de ce dimanche permettra la continuité de ces projets pour la prochaine année. Grand merci à l’avance pour votre solidarité et vos dons.
Il est possible également de le faire directement au Bureau de la procure diocésaine, au 49, rue Mgr. Brunault, Nicolet, Québec, J3T 1X7.
Un reçu pour l’impôt vous est offert pour un don de 10 $ et plus, en ayant soin d’indiquer vos coordonnées personnelles.

Le travail de sœur Carmen est pour elle l’occasion d’être témoignage d’accueil, de justice, de miséricorde en redonnant à chaque personne rencontrée son identité humaine. on la voit ici avec une jeune fille et sa mère bénévole.

Jeunes partipantes et participants au projet Tallitha.

Dimanche de la mission du Brésil

Par Jacqueline Lemire, service diocésain de pastorale missionnaire

Dans toutes les paroisses du diocèse, le dimanche 3 juin 2018 sera consacré à la mission nicolétaine au Brésil. Dans un esprit missionnaire et en solidarité avec la communauté des Sœurs de l’Assomption de la Sainte Vierge, nous unirons notre prière et notre soutien financier aux projets des missionnaires du Brésil.

Au cours de la célébration eucharistique vous serez invités à poser un geste de solidarité avec les projets Thallita et EDUCAVIDA en faisant un don monétaire. La quête de ce dimanche permettra la continuité de ces projets pour la prochaine année. Grand merci à l’avance pour votre solidarité et vos dons.

Grâce aux arts, permettre aux enfants de rêver mieux…

D’après le témoignage de Sœur Camen Lúcia, SASV

Les Sœurs de l’Assomption de la Sainte-Vierge sont engagées au cœur de la mission nicélétaine du Brésil dans différents projets. L’un d’eux, EDUCAVIDA, est un projet qui a pour objectif de promouvoir une formation humaine, chrétienne, biblique et éducative auprès des enfants, des jeunes et des femmes; et le projet Thallita dans lequel elles s’impliquent auprès de la même clientèle, afin de développer l’art à travers les découvertes des talents. Depuis plusieurs années la communauté poursuit son œuvre dans le projet Thallita. La responsable, sœur Carmen Lúcia, SASV, continue son travail malgré les obstacles et les difficultés de toutes sortes auxquels elle doit faire face.

Plusieurs d’entre vous connaissez déjà ce projet qui a pour but d’accueillir des enfants, des adolescents, des jeunes et des femmes qui veulent retrouver leur estime de soi et recevoir une formation académique et sociale. Dans ce but, des cours et des ateliers sont organisés au niveau pédagogique, artistique et manuel.

Comme vous le savez, une grande partie de la communauté brésilienne vit une réalité très difficile. En effet, elle fait face au chômage, à la violence, à l’usage excessif de drogues, à l’abus et l’exploitation sexuelle, en plus des inégalités sociales brimant l’accès aux soins de santé, à l’éducation et à une vie digne. C’est pourquoi les sœurs ont une préoccupation constante pour ces personnes vulnérables et leur offre un lieu pour cheminer et retrouver leur dignité.

« C’est au nom de cette transformation sociale que je suis motivée à continuer ce travail malgré les difficultés causées par tant d’injustices sociales », de dire sœur Carmen. Et elle ajoute : « Pouvoir contribuer à ce qu’une personne puisse trouver des motifs et des moyens pour changer de vie, voilà ce qui me donne la force et le courage dans cette lutte. Pouvoir collaborer pour un monde de paix, de solidarité, de fraternité et surtout, être un instrument pour promouvoir l’humanisation des personnes. » Sœur Carmen nous présente quelques aspects du développement des enfants et des jeunes qui sont inscrits au projet.

Accueil, justice et miséricorde

En musique, Sara Micael Rocha da Silva, âgée de 9 ans, a réussi à maîtriser son instrument préféré, la batterie, malgré son handicap visuel. Elle réalise maintenant de belles présentations. Cicero Epifanio de Lima, 11 ans, joue avec brio de l’accordéon et participe aux spectacles Thallita Canta Gonzaga en plus de s’impliquer dans l’atelier théâtre.

Depuis l’âge de 5 ans, Wanderson Luis Mota da Silva participe au projet dans le but de recevoir une aide psychologique. Aujourd’hui, âgé de 8 ans, il a pu intégrer l’activité du groupe théâtre. Son comportement, sa discipline et son rendement scolaire se sont  grandement améliorés. Il a quitté la rue, va à l’école, participe aux ateliers théâtre et chants et prend des cours de rattrapage. Son principal loisir est les promenades en compagnie de ses grands-parents avec qui il demeure depuis l’âge de 4 ans.

« C’est par le projet Thallita que je peux concrétiser des actions pour promouvoir la vie, fortifier l’estime de soi, racheter l’identité des personnes et donner l’opportunité aux jeunes et aux enfants de rêver et lutter pour un monde meilleur.»

Le travail de sœur Carmen est pour elle l’occasion d’être témoignage d’accueil, de justice, de miséricorde en redonnant à chaque personne rencontrée son identité humaine.

Dons et prières pour un monde meilleur

Vos dons sont importants pour la continuation du projet, vos prières le sont tout autant. Au nom de ces enfants et ces femmes qui retrouvent la possibilité de rêver d’un monde meilleur et au nom des Sœurs de l’Assomption de la Sainte-Vierge, je vous dis «merci» de faire la différence.

 

Lancé le 1er mai 2008, le site Web du diocèse de Nicolet, dans sa mouture originale, nous avait offert 10 ans de loyaux services. Dans l’univers d’Internet, il s’agit d’un âge vénérable ! C’est pourquoi le besoin de relève se faisait sentir.

L’aventure Web de notre Église nous laisse voir, en rétrospective, un parcours plus que respectable.C’est en 2003 que le diocèse de Nicolet a mis en ligne son tout premier site Web à l’adresse www.souffle.ca. Résolument missionnaire, ce site avait pour objectif de favoriser la rencontre de Dieu en proposant des témoignages, de grandes questions et autres réflexions spirituelles, en lien avec la culture contemporaine.

Pendant quelques années, les deux sites ont été conjointement actifs sur des terrains différents: le site diocésain lancé en 2008 (auquel s’est ajouté un portail sécurisé pour les communications internes) devait renseigner, tandis que Souffle poursuivait sa mission d’évangélisation. Le Web religieux étant en plein essor, il est toutefois devenu moins pertinent pour notre équipe de persévérer dans ce créneau. C’est ainsi qu’après les réflexions du carême 2013, le site Souffle s’est rangé dans la voie de garage.

Annie Beauchemin fut, jusqu’ à aujourd’hui, notre webmestre et la maître d’œuvre de toute la conception graphique, de la programmation et de la mise en ligne de nos contenus diocésains. À partir de 2014, elle s’est de plus affairé e à soutenir les zones ayant pris le virage des parcours GPS en formation à la vie chrétienne ; plusieurs sites interactifs ont vu le jour depuis, pour favoriser les choix d’activités et la participation des familles. Un travail colossal! À notre connaissance, aucun autre diocèse au Québec ne dispose de telles plateformes pour accomplir sa mission.

À la même époque ou presque, la revue imprimée En communion devenait le bulletin électronique gratuit que l’on connaît à présent. Dans ses pages se rejoignent peu à peu les dimensions d’information et de réflexion que nous cherchions à combiner avec nos deux sites auparavant.

Novembre 2011 : la page Facebook du diocèse de Nicolet était créée et est devenue un de nos moyens de communication en ligne indispensables. Et nous voici arrivés à un nouveau tournant. Une refonte complète de notre site diocésain vient d’être mise en ligne.  Sa construction est à compléter pour couvrir l’ensemble des secteurs de la pastorale diocésaine. Dans la visée que nous poursuivons, il se présentera comme un site de service qui saura rencontrer, avec ses contenus, celles et ceux qui cherchent à faire connaissance avec l’Église de Nicolet sur le Web.

Nous le voulons dynamique, proche des questions des gens, afin de soutenir le tournant missionnaire de nos communautés et l’accès à nos propositions pastorales à toutes les étapes de la vie. Il y est prévu un accès plus facile aux paroisses du diocèse, grâce à une carte interactive où les internautes pourront, à l’aide de leur code postal, trouver leur paroisse et l’équipe pastorale qui l’anime. Pour les lectrices et lecteurs du bulletin En communion : patience! Il vous reviendra au rythme habituel une fois cette tâche accomplie.

La campagne 2018 de la Fondation pastorale du diocèse de Nicolet a été lancée jeudi soir, 24 mai dernier, alors qu’environ 150 personnes étaient réunies à la cathédrale de Nicolet pour clore, avec Mgr André Gazaille et son équipe diocésaine, la grande visite pastorale qui s’est terminée ce printemps. Dans la culture actuelle, nous savons très bien que «notre foi n’est pas coutume…» C’est pourquoi le thème de cette campagne nous rappelle que c’est maintenant à nous, la communauté des chrétiennes et des chrétiens, de partager notre flamme avec le monde.

C’est dans un réel esprit d’engagement que des personnes de partout, au Centre-du-Québec, ont répondu à l’invitation de la Fondation pastorale du diocèse de Nicolet, à venir célébrer et cueillir les fruits de la visite pastorale de l’Évêque. Celui-ci en a profité pour dresser un bilan de santé de l’Église diocésaine, après avoir vu et entendu la réalité de tous les milieux au cours des deux dernières années. Au début de cette soirée, Mgr Gazaille a fait des constats plus ou moins rassurants, selon les régions, concernant l’état du bénévolat, de la formation à la vie chrétienne, des ressources humaines, de la participation des jeunes à la vie de la communauté, des finances paroissiales et des diverses réalités qui affectent la mission.

«Dans la plupart des milieux, il y a des gens engagés et très convaincus, fidèles à leur tâche, qui font en sorte que la paroisse fonctionne», s’est-il réjoui. Selon Mgr Gazaille, une paroisse qui peut compter sur un bon nombre de bénévoles est une paroisse en santé. Toutefois, les ressources consacrées à la catéchèse des jeunes ou à l’accompagnement de groupes d’adultes qui désirent approfondir ou célébrer leur foi sont très variables, d’un milieu à l’autre. C’est l’une des raisons qui rendent le soutien de la Fondation pastorale nécessaire à la poursuite de la mission, surtout dans les paroisses moins bien nanties.

Besoin d’être initiés, accompagnés et soutenus dans la foi

La Fondation pastorale du diocèse de Nicolet permet à l’Église diocésaine d’avoir, sur le terrain, des femmes et des hommes allumés par l’amour du Christ et formés pour le faire connaître. «Les personnes engagées dans nos communautés chrétiennes ont recours à beaucoup de créativité afin de partager l’amour de Jésus Christ dans nos milieux», assure Mgr André Gazaille. «Des jeunes comme des adultes cherchent à connaître cette Parole qui fait vivre, cette espérance qui pousse à s’engager pour un monde plus humain. Des croyants qui se sentent seuls souhaitent tout simplement trouver des communautés rayonnantes pour partager leur foi et la célébrer», poursuit-il. C’est à ce besoin d’être initiés, accompagnés et soutenus dans la foi chrétienne que répondent les intervenants pastoraux du Centre-du-Québec, avec l’appui de la Fondation pastorale du diocèse de Nicolet.

Pour madame Patricia Lambert, directrice générale de la Fondation pastorale, la finalité des sommes investies dans les projets pastoraux du diocèse ne fait pas de doute: «En proposant des groupes de prière, des enseignements bibliques, des camps axés sur la découverte de Dieu, des parcours de catéchèse adaptés aux réalités des familles, des ressourcements pour les couples, nous déployons toutes nos ressources pastorales pour partager la flamme de notre foi avec les gens d’ici». La Fondation pastorale du diocèse de Nicolet soutient ces projets, que ce soit par l’entremise de la formation du personnel ou par un appui financier aux paroisses qui embauchent des agentes et des agents de pastorale. La Fondation est aussi le principal bailleur de fonds pour le fonctionnement des Services diocésains de pastorale qui mettent en œuvre une vision et coordonnent l’action pastorale, dans le but de favoriser la vitalité missionnaire des paroisses.

Des donateurs moins nombreux

L’objectif de la collecte 2018 a été fixé à 200 000 $. L’an dernier, la campagne de la Fondation pastorale a permis de recueillir, auprès des donateurs, 184 856 $. Ce qui est relativement peu, faut-il observer, si on considère que l’aide financière accordée en pastorale, cette même année, s’est élevée à 391 300 $, soit plus du double. «Les sommes investies depuis la création du premier Fonds de pastorale en 1996, devenu en 2006 la fondation incorporée que nous connaissons, nous permettent encore d’assurer un niveau d’activité plus grand que ce que nos campagnes génèrent, ces dernières années», explique madame Lambert. En 2013, la campagne de la Fondation avait permis d’amasser la somme record de 271 000 $, pour une moyenne de 209 000 $ par année, ces 7 dernières années.

Ce qui affecte les résultats de la campagne annuelle, c’est principalement la diminution du nombre de donateurs, d’année en année; on constate en effet que les dons moyens oscillent, bon an mal an, entre 90 $ et 110 $. Par contre, le nombre de dons accuse un recul constant, étant passé sous la barre des 2000 contributeurs pour la première fois en 2017. «Pour une cause comme la nôtre, on peut comprendre facilement que cela est dû au vieillissement et, éventuellement, au décès des personnes qui ont toujours cru à l’importance de perpétuer la foi chrétienne au bénéfice de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Ces gens ont manifesté leur désir de partager leur flamme en soutenant la Fondation de leur diocèse, et nous leur en sommes très reconnaissants», souligne Patricia Lambert.

Un défi missionnaire

Le défi de la Fondation est très clair, estime Patricia Lambert: «C’est de convaincre d’autres personnes – et j’oserais dire davantage de personnes plus jeunes – que la mission nous concerne toutes et tous. Comme chrétiennes et chrétiens, c’est une responsabilité collective que nous partageons de faire rayonner la flamme qui nous habite. Parce que notre foi n’est pas coutume», ajoute-t-elle, faisant allusion au thème de la campagne.

Mgr André Gazaille abonde dans le même sens: «Nous avons à développer le sens de l’appartenance à notre communauté chrétienne, à faire en sorte qu’elle soit vivante et qu’elle joue son rôle d’être lumière dans le monde», dit-il. «C’est pourquoi il faut se donner des structures et des moyens pour faire connaître Jésus Christ, pour permettre aux jeunes et aux moins jeunes de découvrir l’amour inconditionnel de Dieu, le sens de l’engagement et de l’entraide dans la famille humaine, l’importance de prendre soin de la Création et la joie profonde qui découle de la vie chrétienne», ajoute l’évêque.

Plusieurs façons de donner

La Fondation pastorale du diocèse de Nicolet distribuera prochainement 40 000 lettres de sollicitations dans la région, en plus des 4000 adressées aux personnes ayant déjà contribué. Ce document comporte un rabat détachable destiné à faire un don mensuel par prélèvement bancaire ou à joindre à votre don ponctuel. Le dépliant est aussi disponible dans toutes les paroisses. On peut également faire un don en ligne, sur une page sécurisée, en se rendant sur le site du diocèse de Nicolet. D’autres options peuvent être envisagées, notamment en ce qui concerne les dons planifiés par testament, par une assurance-vie ou une rente de bienfaisance. «Pour un don planifié, nous prenons le temps qu’il faut pour en discuter, expliquer tous les avantages et choisir la planification qui convient le mieux à votre situation», souligne Patricia Lambert, directrice générale. Toutes ces options sont énumérées sur le site Web du diocèse de Nicolet, en cliquant sur l’icône «Faire un don».

Mgr Simon Héroux, vicaire général, et Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet, ont rendu hommage à madame Proulx le 22 mai dernier.

Lors d’une fête organisée en son honneur, Nicole Proulx est ici entourée des amies que sont sa collègue, Marie Caron, et son ex-collègue, Céline Lauzier.

Madame Nicole Proulx, une secrétaire d’exception!

Par Mgr Simon Héroux, p.h. vicaire général

Madame Nicole Proulx célèbre, cette année, cinquante ans au service du diocèse de Nicolet, ce qui est exceptionnel dans notre Église comme dans la société civile.

Le 29 avril 1968, Nicole devenait secrétaire du service diocésain de l’éducation (appelé Office de l’éducation) dont les bureaux se trouvaient au Centre Catholique de Nicolet, fonction qu’elle occupa durant vingt-quatre ans. Le 1er mars 1992, elle devenait secrétaire et archiviste à la chancellerie du diocèse de Nicolet, et elle y est toujours depuis plus de vingt-six ans.

 Des qualités remarquables

Au cours des ans, Nicole a acquis une bonne connaissance de l’administration diocésaine. Elle connait pratiquement tous les prêtres du diocèse pour les avoir accueillis à son bureau ou encore pour leur avoir rendu service. Elle s’est acquis le respect non seulement des prêtres, mais aussi de tout le personnel pastoral du diocèse.

Personnellement, j’ai le bonheur de travailler avec Nicole depuis plus de vingt-six ans. J’ai toujours vu en elle une femme simple, dévouée, qui aime son travail. Elle est compétente, assidue et elle ne compte pas ses heures. Souvent, elle quitte son travail après l’heure prévue. Toujours élégante et bien mise, elle accueille bien les gens. Elle est respectueuse, de bonne humeur et rieuse. Elle est surtout très patiente avec son patron! Nicole est une adjointe d’une grande discrétion, ce qui est une qualité nécessaire pour le genre de travail qu’elle accomplit à la chancellerie, étant tenue au secret professionnel. Elle et moi, nous avons toujours travaillé en harmonie sans aucun conflit.

Une fidélité célébrée

Le 5 mai dernier, plus de cinquante personnes, parents, collègues de travail et amis de Nicole se sont réunis au restaurant «Le Cuisto» de Trois-Rivières à l’occasion d’un souper pour célébrer dans la joie les cinquante ans de service de Nicole au diocèse de Nicolet. Puis, le 22 mai dernier, Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet, entouré du personnel pastoral, administratif et de soutien, a tenu à exprimer à Nicole son admiration et sa reconnaissance pour tant d’années de dévouement au service du diocèse avec une fidélité exemplaire. Vin d’honneur, cadeau et gerbe de fleurs étaient au rendez-vous.

Depuis un an, Nicole est passée d’un travail à temps plein à la chancellerie à quatre jours par semaine, ce qui lui permettra sans doute de demeurer au moins quelques années au service de diocèse. Avec gratitude et reconnaissance pour ces 50 années au service de notre Église diocésaine.